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Biographie

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    **Aurélien par Soledad**

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Un coupable et des complices

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    Un coupable et des complices

    Comme le roman de Delphine de Vigan, « Rien ne s’oppose à la nuit » a ouvert
    l’ère des confessions sur les mères dysfonctionnelles, l’affaire Weinstein et
    le mouvement #metoo ont libéré la parole de femmes ayant subi des violences
    sexuelles.

    Dans « Le Consentement », qui aurait tout aussi bien pu s’intituler «
    L’Emprise », il y a une victime, un coupable… et des centaines de complices :
    la famille et toute une société, qui ont non seulement fermé les yeux, mais
    encouragé les penchants pour les très jeunes gens des deux sexes de celui qui
    est appelé G. et dont plus personne n’ignore qu’il s’agit de l’écrivain
    Gabriel Matzneff.

    Pourquoi Vanessa Springora décide-t-elle de publier ce récit aujourd’hui à
    quarante-sept ans, alors que sa liaison avec G. date de trente-cinq ans ? Elle
    l’explique ainsi : « Depuis tant d’années, je tourne en rond dans ma cage, mes
    rêves sont peuplés de meurtres et de vengeance. Jusqu'au jour où la solution
    se présente enfin, là, sous mes yeux, comme une évidence : prendre le chasseur
    à son propre piège, l’enfermer dans un livre. »

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    l’héroïne pétillante à la tresse brune : la famille va déménager dans le Sud !
    Abattue et en colère à l’idée de vivre loin de son quartier,l’héroïne
    pétillante à la tresse brune : la famille va déménager dans le Sud ! Abattue
    et en colère à l’idée de vivre loin de son quartier, de sa maison, de tous ses
    repères, Lucrèce n’hésite pas à s’exprimer sur le sujet et à en parler autour
    d’elles. Mais les adultes ne semblent pas aussi désespérées qu’elle…
    Heureusement, la collégienne peut toujours compter sur les « Lines », ses
    meilleures amies, pour la réconforter.
    Dans ce quatrième tome, qui aborde le thème important de l’intégration, le
    jeune lecteur poursuit les aventures de Lucrèce, qui, inévitablement, grandit
    avec lui.
    de sa maison, de tous ses repères, Lucrèce n’hésite pas à s’exprimer sur le
    sujet et à en parler autour d’elles. Mais les adultes ne semblent pas aussi
    désespérées qu’elle… Heureusement, la collégienne peut toujours compter sur
    les « Lines », ses meilleures amies, pour la réconforter.
    Dans ce quatrième tome, qui aborde le thème important de l’intégration, le
    jeune lecteur poursuit les aventures de Lucrèce, qui, inévitablement, grandit
    avec lui.

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    Deux esquimaux sortent de leur igloo pour profiter du soleil : en chemin, ils
    font la rencontre des pingouins, puis de « l’ours bourru », des phoques, et de
    « l’oiseau de grande envergure »… Ils quittent leur région natale sur son dos
    – pour la modique somme de cinquante centimes - à la découverte de la planète.
    Si l’adulte prend conscience de l’aspect surréaliste de cette épopée, l’enfant
    se plaira à plonger dans un univers onirique, empreint de magie et de
    facéties.

    Publié en 1933, l’œuvre de la peintre Vieira da Silva est réédité par les
    éditions Chandeigne ; les personnages à découper, à la fin de l’album, sont
    destinés à être promenés dans les différents planches à la manière d’un
    théâtre. Pour la narration du conte, Maria de Medeiros prête sa voix et
    sublime la poésie qui émane de cet album intemporel.

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    Plus vite l’enfant tourne les pages, plus vite le lapin malicieux fait le tour
    de sa journée au grand complet. L’animal exalté ressemble à s’y méprendre à
    celui d’Alice au pays des merveilles… À quelques détails près : l’horloge
    s’est transformé en réveil, et le héros au pelage noir vit des heures
    semblables à celles des hommes. Il se lève, se lave et prend son petit-
    déjeuner, double les files de voitures, passe à la banque… Sur la page de
    droite, le lapin détale à une allure folle, tandis que sur celle de gauche,
    les collages indiquent au lecteur ses actions en fonction du moment de la
    journée.
    Un album poétique, dont l’absence de texte ne gêne en rien la compréhension,
    bien au contraire : les illustrations révèlent et redessinent l’univers si
    particulier d’Anne Herbauts, lauréate de nombreux prix.

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