Je serai vivante raconte une vérité dérangeante, lourde, triste : celle du viol. Le récit est rédigé à la première personne et la narratrice, qui est aussi la victime, s’adresse à « Monsieur l’officier ».
Je serai vivante raconte une vérité dérangeante, lourde, triste : celle du viol. Le récit est rédigé à la première personne et la narratrice, qui est aussi la victime, s’adresse à « Monsieur l’officier ».